ϟ DANS LA BATAILLE DEPUIS LE : 18/08/2012
ϟ MISSIVES ENVOYÉES : 8 ϟ POINTS : 25 ϟ DC : // ϟ EMPLOI : ETUDIANTE EN MEDICOMAGIE Passe ta souris
pour tout savoir !  | | Sujet: (m) RICHARD MADDEN ⋄ please, don't let me get you Mar 21 Aoû - 18:41 | |
|  Julian Andrew Harrington
une citation mignonne the rised mirror ▲ avis sur la révélation du monde magique → imbécile de ministre (à développer). ▲ avis sur l'attentat de Bristol → n'hésite pas à se venger (à développer). ▲ avis sur la guerre qui perdure → pour et continue le massacre (à développer) ▲ avis sur les moldus/sorciers → ne ne supporte pas les sorciers (bien qu'il en soit un) et se fait passer pour un moldu (à développer) | |
passez la souris sur l'avatar
pour découvrir les infos. | specialis revelio ► Vient d'une famille de moldu. Il a passé sa scolarité à Serpentard dû à sa très grande ambition. D'ailleurs, il a souvent été maltraité par les camarades de sa propre maison dû à son sang. Il s'est promis de se venger et fait maintenant partie des Hunters malgré son statut de sorcier. D'ailleurs, peu de personne sont au courant pour ses pouvoirs. Et ceux qui le sont voient en lui comme une arme de taille contre les autres sorciers.
► niveau caractère, il peut paraître très froid aux premiers abords, et surtout sans pitié. D'ailleurs, il n'hésiterait pas à tuer de sang-froid ses ennemis et pourtant, il est assez empathique. Il ferait tout pour sa famille, ses amis qui sont importants que sa propre vie. Il accorde très difficilement sa confiance mais une fois qu'on là, on peut être sûr que jamais, il ne vous trahira. Il a aussi un petit côté torturé du au fait de sa "relation" avec Daenerys (développée plus bas) |
 | EXTRAIT DE MA FICHE
- Spoiler:
POV DAENERYS
Un cri déchirant me réveilla en sursaut. Ma tête bougea dans tous les sens, à la recherche de la provenance du bruit, mais rien. Toutes les filles de mon dortoir étaient encore en train de dormir. Étais-je donc la seule à avoir entendu ce bruit? Devenais-je donc folle? Je me recouchais alors doucement. Mais à peine m'étais-je tournée sur mon côté gauche qu'un cri me fit sursauter une nouvelle fois. Non, cette fois-ci, c'était bien réel, je ne rêvais pas. Doucement, je me glissais hors de mon lit. Je frissonnais tandis que je posais mes pieds sur le sol froid. Rapidement, je mis mes chaussures, m'enroula dans ma robe de chambre et quittait silencieusement mon dortoir, baguette en main. La salle commune était totalement silencieuse. Que devais-je donc faire? Retourner dans mon lit? Non, je savais que maintenant, je n'arriverai plus à retrouver le sommeil. Finalement, c'est en prenant mon courage à deux mains que je décidais de sortir.
Les cachots semblaient silencieux, mais je savais que ce n'était pas le cas. Non, j'avais entendu ces cris, j'étais encore sainte d'esprit, et absolument réveillée maintenant. « Lumos » Une petite lumière sortit de ma baguette, éclairant ainsi le couloir. Lentement, je m'y aventurais, retenant mon souffle et faisant le moins de bruit possible. 10 minutes, puis 20. Finalement, rien n'attira mon attention. Je soupirais alors, me disant qu'en fin de compte, j'avais sûrement rêvé. Et alors que j'allais faire marche arrière et retourner dormir, un petit gémissement provenant d'un cachot à ma droite attira mon attention. Je m'approchais alors, lentement, doucement, sur la pointe des pieds. En faisant le moins de bruit possible, j'ouvris la porte. C'est là que je le vis, ce jeune-homme plus âgé que moi, enchaîné, le torse recouvert de coupure, du sang partout. « SECTUMSEMPRA » Je sursautais alors tandis que le garçon poussa à nouveau un cri. Du sang, toujours plus, venait souillé tout son corps. Je posais alors rapidement ma main devant ma bouche, empêchant un cri de sortir de ma bouche. « Avoue! Avoue que c'est toi qui est rentré dans mon bureau! DOLORIS » Mais il ne disait rien, il continuait de subir. Les larmes me montèrent alors aux yeux. Puis, en une petite minute de lucidité, nos regards se croisèrent. Je pris peur, je me suis reculée... Et j'ai fui. J'ai couru jusqu'à mon dortoir, j'ai sauté dans mon lit, et je me suis cachée. Cette nuit-là, j'ai pleuré. Cette nuit-là, j'ai compris à quel point le monde pouvait être horrible. Cette nuit-là, j'ai commencé à comprendre. A 12 ans, ma vision du monde s'est mise à changer.
*** « EXPELLIARMUS » « PROTEGO » « SECTUMSEMPRA » Voilà maintenant une-demi heure que nous étions en train de nous affronter. Cette brunette était plus forte qu'elle en avait l'air. Je souriais tout en continuant de lancer mes sorts. Je m'amusais, extrêmement, tandis que mes compagnons se forcèrent rapidement un chemin vers les coffres forts. Elle essayait de les empêcher. Dommage, j'étais son adversaire. Ses yeux fous de rage brillaient autant que les attaques qu'elle me lançait. Ses yeux, jamais je ne les ais oublié. 10 ans auparavant, ils étaient baignés de larmes pour moi. Maintenant, ils exprimaient toute la haine qu'elle pouvait ressentir à mon égard. « Et bien Greengrass, c'est tout ce que tu sais faire? Te protéger? Je te savais lâche, mais pas à ce point. » Elle cria de colère et changea sa tactique. Ses sorts se firent de plus en plus offensifs, les miens également. Puis tout à coup, plus rien. Nous étions l'un en face de l'autre, à reprendre notre souffle. Puis, je reçus le signal. Je lui souris alors « Ravi de t'avoir revue très chère. Je me suis vraiment bien amusé. A une prochaine! » Une dernière attaque que j'ai évité de justesse avant de transplaner sous son cri de rage « CRÈVE HARRINGTON »
***
Elle était là, seule, assise sur ce banc, dans ce parc. Elle semblait perdue dans ses pensées. Sur le coup, je la trouvais tellement inoffensive, mais je savais qu'elle était tout sauf fragile. Du moins, c'est ce que je croyais. Je m'approche d'elle. Elle ne m'a pas vu. Tout à coup, je m'arrête. Mes yeux s'écarquillent tandis que je voyais des larmes couler sur ses joues, abondamment. Elle les sécha rapidement du revers de sa manche, mais trop tard, je les avais vus. Pourquoi? Pourquoi pleurait-elle autant? Comment pouvait-elle sembler tellement malheureuse alors qu'elle devrait, juste, être plus qu'heureuse? Après tout, elle est une Greengrass; elle est une Sang-pur qui possède tout ce qu'elle veut sur un plateau d'argent. Je m'approche un peu plus jusqu'à me planter devant elle. Son visage se relève, des perles s'accrochent toujours à ses cils et menacent de tomber à tout moment. Elle reprend son masque de froideur « Dégage Harrington. » Je fronce les sourcils avant de sourire « Pourquoi donc? Il me semble que le parc est pour tout le monde. » A ces mots, je prends place à côté d'elle. Je la vois reculer et je ricane. Elle se tourne vers moi, me jetant un regard mauvais avant de se lever. Je la retiens, pressant mes doigts sur son poignet. Et elle lâche un cri de douleur. Je la lâche alors, étonné. Je n'avais quand même pas serré si fort. Je reprends son poignet, relève ses manches et c'est là que je vois toutes ces traces, tous ces bleus, partout. « Qui t'as fait ça? » Elle se dégage « En quoi ça te regarde? » « Et pourquoi tu pleures alors? » Elle me regarde, étonnée, avant de ricaner « Moi, pleurer? S'il-te-plait, je suis une Greengrass, et les Greengrass ne pleurent pas. Je ne suis pas une faible moi. » « Ne joue pas à ce jeu avec moi. Réponds-moi, qui t'as fait ça?! » Elle semble de plus en plus étonné. Elle me tourne le dos et s'en va, me laissant sans réponse sur ce banc.
***
« C'est lui qui te fait ça? » Depuis maintenant plusieurs semaines, nous nous retrouvons dans ce coin isolé du parc, sur ce banc, à l'abri des regards. Elle ne répond pas, mais je sais que j'ai raison. J'ai entendu parlé de cet homme qui avait réussi à avoir la main de l'aînée Greengrass, de cet homme que tous savaient extrêmement violent. « Pourquoi tu ne te défends pas? » Encore une fois, pas de réponse. Elle avait le visage baissé, ses mains tremblaient légèrement. Tout à coup, la colère m'envahit « REGARDE-MOI! » En même temps que je prononçais ses paroles, je la tournais vers moi avec force. Et j'eu l'impression de recevoir un coup dans l'estomac. Encore ces yeux remplis de larme. Pourquoi? Pourquoi devait-elle souffrir autant? Pourquoi pleurait-elle autant? Je la pris dans mes bras, le serrant fortement « Parles-moi... » Mais elle restait silencieuse. Combien de temps sommes-nous restés ainsi? Je ne sais pas... Et elle est partie en premier, comme toujours....
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