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( willow-hadès ) - i swear, we were infinite.
deadly disaster - this is war

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Willow-Hadès Gargös-Keihn
Willow-Hadès Gargös-Keihn

ϟ DANS LA BATAILLE DEPUIS LE : 17/05/2012
ϟ MISSIVES ENVOYÉES : 51
ϟ POINTS : 17
ϟ DC : nop.
ϟ EMPLOI : étudiante en médicomagie.
Age : 31
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MessageSujet: ( willow-hadès ) - i swear, we were infinite. ( willow-hadès ) - i swear, we were infinite. EmptyVen 10 Aoû - 20:17


❝ willow-hadès gargös-keihn

ici une citation magique wesh


BEHIND THE SCREEN

PSEUDO/PRÉNOM → KASSANDRA/KASSOU.
ÂGE → DIX-NEUF ANS.
COMMENT T'ES ARRIVÉ(E) SUR DD ? → BAZZAAART.
TON AVIS ? → YOOOOH. coeur 2
RESPECTERAS-TU LE SERMENT INVIOLABLE ? → ABSOLUMENT, GRACE AU POPOD ET A L'ORDI Cool
AVATAR → VANESSA HUDGENS.
SOUHAITES-TU LE RÉSERVE ? → YEEES.
CRÉDIT DES IMAGES → LJ & TUMBLR.
i'm a hyppogriff
Mon nom, c'est séraphina willow mads athenaïs gargös-keihn, mais tout le monde m'appelle hadès. Je suis née le trente et un octobre, le jour des morts à sofia, bulgarie, j'ai donc vingt-et-un an. Je suis un sorcière de pur sang, une bulgare aux anciennes origines française, plus précisément de la partie sorcière de la royauté françaiseet je fais donc partie du groupe keepers. Dans la vie, je suis étudiante en médicommagie. Actuellement, je suis hétérosexuelle et je suis aussi célibataire et tant mieux pour les mecs. Dans mon entourage, on dit que je suis moi-même, les gens ne me connaissent que du côté mal, je ne sais pas si j'ai des qualités, peut-être le fait que j'aide les personnes sans le vouloir mais aussi froide, insensible, manipulatrice, brisée, méchante, les pires défauts du monde, pourtant ce n'est qu'une carapace, il n'y a qu'une seule personne dans ce monde qui me connait réellement mais je tairais son nom, et on me reconnait facilement grâce au fait que je ne sois pas seulement une simple sorcière de sang-pur mais j'ai aussi une très grande fascination pour le feu, oui je suis une élémentariste du fait, alors je vous le dis tout de suite, ne jouer pas avec moi au risque de vous brûler, vraiment mais je le vis bien. Je suis effrayée par le corps venant, brûlant vers moi de l'homme qui se disait être mon père jusqu'à mes onze ans et mon patronus est une louve blanche, dans mon esprit elle est majestueuse et a les yeux bleus océans profond. Mon arme, en ces temps de troubles, est ma baguette, de vingt-sept centimètre en bois de rosier, la perfection, contenant un cheveu de la plus ancienne vélane, le feu, et bien d'autre choses encore. Enfin, je dois ma belle gueule à mes origines franco-bulgare et accessoirement à vanessa godness hudgens la sexy oué oué tu peux pas test'.


the rised mirror
comment avez-vous réagi lorsque le gouvernement magique a révélé au monde moldu l'existence du monde magique ? ▲ la jeune femme a apprit la nouvelle sans grande importance; mais cela ne changeait pas grand chose à sa vie en réalité, elle connaissait les deux mondes. seulement, son point de vue était déjà conclut, certaines personnes ne méritaient pas de vivre dans ce monde moldu, ah oui c'est vrai, elles ne sont plus déjà de ce monde. pourquoi préféreriez-vous la séparation du monde magique et moldu plutôt que la cohabitation ? ▲ il y a trop de différence entre les deux mondes pourtant ils ne devraient pas y en avoir, mais il y en a, il faut pas mélanger, c'est tout, c'est mieux comme ça. si la simple séparation des mondes était impossible, quel camp rejoindriez-vous ? ▲ son propre camp, la jeune femme n'est pas du genre à suivre ni à appliquer les règles, elle suit son propre jugement et ça lui va très bien. les règles sont faite pour être brisée. avez-vous foi en votre gouvernement ? pourquoi ? ▲ question suivante ? malgré votre désir de séparer le monde moldu et le monde sorcier, seriez-vous prêt à travailler en collaboration avec les keeper moldus pour parvenir à vos fins ? ▲ cela ne s'est jamais produit, donc elle ne sait pas.
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Dernière édition par Willow-Hadès Gargös-Keihn le Sam 18 Aoû - 19:13, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: ( willow-hadès ) - i swear, we were infinite. ( willow-hadès ) - i swear, we were infinite. EmptyVen 10 Aoû - 20:17


we were born to be wild

wilds heart can't be broken.


when it's real, close your eyes and ... nothing.
“ a childwood is a gift, take this. ”


PART ONE
Elle est là. Plantée comme un piquet, elle veut courir, courir loin jusqu'à en perdre haleine, courir loin jusqu'à en avoir les pieds en sang, ne plus sentir l'air dans ses poumons qui la brûle, mais elle ne peut pas. Elle ne peut plus bouger. Elle ne bouge pas et pourtant de l'intérieur, elle tremble, elle cri de tout son être mais personne ne l'entend, personne ne l'entendra. Elle est perdue et pourtant elle se trouve là, face à lui encore une fois. Elle ne peut plus affronter son regard si glacial, son regard qui la méprise au plus haut point, elle le dégoûte, elle le sait, il lui a déjà répété de nombreuses fois, à chaque fois. Elle le croit, parce qu'elle n'a pas le choix, il lui dit qu'elle n'a pas sa place dans ce monde. C'est peut-être vrai, elle n'a que dix ans. Elle ne peut rien faire. Elle redresse alors la tête, son regard est triste, elle a peur, elle a peur que cette fois soit sa dernière fois. Peut-être qu'il fera enfin ce qu'il dit à chaque fois, qu'il allait en finir avec elle, mais non, il la laisse à chaque fois agonisante sous ses coups. Elle serre les pans de sa robe dans ses mains, cela ne devrait plus tarder maintenant. Elle lui suit du regard, elle le voit quitter son fauteuil un peu plus loin de là où elle se trouve, elle a la gorge serrée. Il se lève, tranquillement comme si ce qu'il allait faire ne le dérangeait pas. Elle serre ses petites lèvres, déjà bien amochées des coups de la veille. Mais personne ne la remarquait, puisqu'elle ne sort pas de chez elle. C'est interdit, elle est enfermée dans sa chambre, constituée que d'un matelas et encore, si on peut appeler ça comme ça, il est posé à même le sol, elle a la chance d'avoir une couverture, il n'y a rien d'autre a part si, le petit carton qui lui sert de table. Non, elle n'a vraiment pas sa place dans ce monde, si bien que la jeune enfant de sept ans ne se sent pas à l'aise dans cette pièce qui est sa chambre. Il fait froid dans la pièce mais elle s'interdit de trembler, elle ne doit pas montrer qu'elle est faible, les coups en seraient plus nombreux. « tu devrais avoir honte de porte mon nom de famille, tu ne le mérite pas. » sa voix est dure, elle la transperce de tout son être comme des milliers de poignards, elle baisse les yeux. Elle l'entend cracher dans le verre vide qu'il tient, elle en est sûre, ce n'était pas de l'eau qu'il y avait dedans, il sent l'alcool à plein nez. Il vient vers elle, craquant ses doigts, chaque son la fit frémir et pourtant elle a la tête haute. « tu es méprisante, je ne sais vraiment pas pourquoi tu as survécus, tu ne mérites pas de vivre, elle ... » il ne finit pas, elle ferme les yeux avant de sentir sa main s'abattre sur sa joue. Elle est sonnée et désorientée, elle ne tient plus debout tellement elle est faible, elle tombe par terre, son corps s'abat sur le sol froid. Instinctivement, elle se repliât sur elle-même, ses mains devant sa bouche, réprimant les pleurs qu'elle sent venir. La douleur est minime. Avec le temps, elle ne ressent plus rien, son corps y est habitué, mais pas son mental. C'est sûr, si cette fillette survit à son père, elle ne sera plus que l'ombre d'elle-même plus tard. « elle, elle le méritait, elle méritait de vivre. » son doigt est pointé sur son corps, il lui crache dessus. Elle ferme les yeux et tombe dans l'oubli.

Lorsqu'elle se réveille, elle est de nouveau dans cette chambre. Son corps est faible, elle a peine à ouvrir les yeux, un gout amer traîne dans bouche. Son sang. Elle essuie ses lèvres avec le dos de sa main, ça fait mal. Elle pleure, en silence. Il ne faut pas qu'il l'entende. Elle se redressa maladroitement, son poignet lui fait mal, il est sûrement cassé. Elle en a marre, elle se place dans le coin du mur, ses jambes repliaient contre sa poitrine, son menton est posé dans le creux que forment ses genoux. Elle les entoure de ses bras, il faut que cela cesse. Elle ne doit plus le laisser faire. Elle resta dans cette position pendant un long moment, elle ne sut différencier si c'était le matin ou le soir, elle ne s'endormit pas, elle est déconnecté de la réalité, plus pour très longtemps, les verrous de sa porte bougent, elle est tétanisée, le regard rivé sur cette porte qui s'ouvre sur son père avec un sourire, pas celui de d'habitude. « lève-toi et va te préparer, des amis viennent ce soir. » Elle hoche la tête, elle laisse son père partit avant de faire ce qu'il lui ordonne.

Elle entend des voix, des rires. Elle se regarde une dernière fois dans le miroir, elle s'est arrangé du mieux qu'elle a pu, cachant les bleus qui ornent son corps, elle n'a presque plus aucune passerelle de peau mate. Elle passe ses mains dans ses cheveux, coiffé et propre, ils ressemblent à ceux de sa mère, elle pose son regard sur la photo de famille posé sur la coiffeuse, ce temps-là n'existe pas, elle ne se souvient pas de ça du moins, ils paraissent tellement heureux. Une famille. Un haut le cœur la prend « Willow, vient. » son père l'appelle, elle prend son courage à deux mains et sort de sa chambre d'occasion, elle ne la voit que rarement, sauf quand des gens viennent, comme ce soir. Elle descend les escaliers, elle sait qu'elle doit jouer la comédie, alors elle sourit, un sourire faux. Elle fait alors la petite fille parfaitement heureuse, elle saute dans les bras de son père, pourtant quand il la réceptionne elle sent une pression au niveau de la côte cassé, il le fait exprès. Elle lui répond en enfonçant ses doigts dans la chair de son cou, elle risque de le payer cher mais ce soir, elle en avait décidé autrement, ce soir ça n'allait pas se passer comme ça. Il la relâche. Tout le long du dîner, elle fait la petite fille douée et heureuse. Elle est bonne actrice, ils n'y voient que du feu. Lorsque le dîner se finit, la demoiselle reste à sa place, regard fixé sur le feu de cheminer devant elle. Elle est fascinée, obnubilée par ces flammes, indomptables. « Willow ? » une voix de femme la sort de sa songerie, elle tourne la tête vers elle. Willow descend de sa chaise, la femme lui tend la main, elle est face à son destin, elle glisse sa main d'enfant dans la sienne et la suit.

Elle ne sait pas où elles sont, la demoiselle sent son coeur battre plus fort, ce qui lui fait mal. Sa respiration est douloureuse. « où sommes-nous ? » demanda-t-elle d'une petite voix mais la femme ne répond pas, elle ne connait même pas son nom. Puis elle s'arrête et lâche la main de Willow. Mais elle ne dit rien et s'en va, laissant la fillette seule. Willow ne bouge pas, elle regarde seulement par là où elle est arrivée et rebrousse chemin aussi vite qu'elle le put, espérant que son père ne remarque rien de son absence, elle ne sait pas pourquoi cette femme l'a emmené ici, est-elle réelle ? oui, elle lui avait prit la main. Elle lui avait parlé, mais elle ne l'avait pas vu au dîner, il n'y avait que des hommes. Elle s'arrêta complètement désorientée, la jeune enfant se retrouva alors face à face à son père, son sang s'arrêta de circuler dans ses veines. « Qu'est-ce que tu fous ici ingrate ? je te nourris, je t'héberge et tu oses partir comme ça ? » Willow fit un pas en arrière. Mais s'arrêta, il est temps pour elle de parler. « je t'emmerde connard. » dit-elle plantant son regard dans le sien. « pardon ? » il passa de la perplexité à la colère, il leva son bras mais elle esquiva le coup. « c'est terminé ce temps-là, tu ne lèveras plus la main sur moi » dit-elle en détachant bien les derniers mots de sa phrase, son père grogna et s'avança vers elle mais une explosion se fit entendre au loin, son père se retourna, Willow regarda dans la même direction que lui. « mais qu'est-ce que ... » son père se retourna et l'attrapa par le bras et la traîna de force derrière lui, elle se débattait allant même jusqu'à planter ses dents dans sa chair. Ils arrivèrent devant l'arrière de du manoir familiale, des flammes épousaient ses murs. Un sourire naquit sur le visage de la demoiselle. Son père le vit et la frappa au visage. Les flammes redoublèrent. Son père comprit que sa venait d'elle. « qui es-tu sale monstre » demanda-t-il, plus pour lui-même que pour elle. Willow se releva, une main sur sa joue. Elle se mit devant lui. Il était dos au manoir, elle fit un pas en avant, il recula et elle commença à marcher, son père reculait. « je ne suis pas ta fille. » dit-elle en levant ses mains, paumes vers le ciel. Son père la regardait d'un air paniqué. « je ne suis pas comme toi. je le sais maintenant. » l'homme qui se tenait devant elle hurla, les flammes s'étaient déplacés du château pour l'entouraient. Elle ne ressentait rien, son regard rivé sur le corps enflammé de cet homme qui avait eu le droit de vie et de mort sur elle. Mais tout était clair maintenant. Depuis qu'elle avait vu cette photo, sa mère était brune, il était blond, elle ne pouvait pas venir de lui, il était blanc, elle avait la peau mate, ses yeux étaient bleus, elle les avait noisettes. Il n'était pas son père. Il s'effondra alors au sol, mort. Une main se posa sur son épaule et la retourna, elle fit alors face à une femme, elle ne la connaissait pas, ce n’était pas la même de la forêt. En fait, comment pouvait-elle le savoir, l'autre femme était voilée. « est-ce que ça va ? Qu’est-ce qu'il s'est passé ? » elle avait l'air paniquée, elle prit dans ses bras et la souleva dans les airs. « je ne suis pas sa fille. » murmura-t-elle. La femme posa une main sur ses cheveux et l'emmena loin d'ici, comprenant tout de suite qu'elle n'était pas comme les autres. C'était la première fois qu'on prit soin d'elle. Mais rapidement, cela dégénéra.



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Dernière édition par Willow-Hadès Gargös-Keihn le Lun 13 Aoû - 20:11, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: ( willow-hadès ) - i swear, we were infinite. ( willow-hadès ) - i swear, we were infinite. EmptyVen 10 Aoû - 20:17


i know you're my only hope

she's not a human


the fire is your blood
“ a childwood is a gift, take this. ”


PART TWO
« durmstrang ? C’est quoi ça ? » demanda-t-elle du haut de ses onze ans tout juste. Elle tourna l'enveloppe recto verso, des armoiries qu'elle n'avait jamais vues étaient moulés dans une cire rouge brun. L'enveloppe avait une drôle d'odeur, une odeur de poudre, elle était jauni, les lettres étaient écrites d'une façon étrange. Mais aucune réponse, elle leva son regard et le posa sur les personnes qui se trouvaient à la même table qu'elle, ses personnes elle ne les connaissait que depuis un mois. La femme était à côté de son mari en face de la jeune fille. « mais qu'est-ce qu'il se passe ? » dit-elle en posant l'enveloppe sur la table en bois de rosier, ses mains s'aventura à caressa le bois, elle aimait la sensation qui lui procurait au toucher. Comme si elle était liée à ce bois, pourtant ce n'était qu'une table, elle releva le regard et vit les gens qui l'avait momentanément recueillit s'échanger un regard appuyer. « tu ne connais vraiment pas Durmstrang ? » Willow fit non de la tête. « pourquoi devrais-je la connaître ? Je vous signale que je suis restée enfermée jusque-là dans ce manoir, à recevoir les coups de ce bâtard qui se disait mon père, qui ne l'était pas. Comment je les découvert ? par une putain de photo posé dans cette chambre. » dit-elle de but en blanc, la femme porta sa main à sa bouche, surprise du ton qu'elle avait employé mais surtout de ce qu'il se passait derrière la jeune fille, Willow se retourna et regarda le mur posté en face d'elle. Elle reçut un coup au coeur, les pots de fleur s'étaient séparés en deux, laissant s'éparpiller le terreau, des flammes avaient alors jaillit de ce parterre de terre. Elle se rapprocha d'un ton mal assuré et lu l'inscription inscrite. « hadès. » la demoiselle se retourna et dit. « c'est moi qui ai fait ça n'est-ce pas ? » l'homme fit oui de la tête, un sourire au lèvre. « qui je suis au juste ? » « tu es une Gargös-Keihn. » lâcha-t-il de but en blanc, sa femme posa une main sur la sienne. « tu es la fille de Nina et Mickaël Gargös-Keihn. » La demoiselle sentit ses jambes fléchirent. Il y avait un mois, elle ne savait qui elle était, ni d'où elle venait, le mensonge dans lequel elle avait vécu depuis si longtemps l'avait brisé. « comment le savez-vous ? » « aujourd'hui. Regarde la lettre. » Willow se rapprocha de la table, sa main se posa sur l'enveloppe avant de la tirer vers elle. Elle lut les inscriptions. « Willow Gargös-Keihn. » La demoiselle releva le regard, son monde commençait à se bâtir sur ce nom-là. « Hadès, je ne suis plus Willow, willow fait partit de mon passé, elle n'existe plus. » conclut-elle avant de monter les escaliers pour aller dans la chambre qu'elle avait acquise en emménageant ici.

« hadès. » dit-elle en hochant la tête de bas en haut, elle reporta son attention sur la fenêtre tandis que la personne qui lui avait demandé son nom s'installa sur la banquette en face d'elle. La demoiselle de onze ans ne voulait pas se faire de connaissance. Elle serra les dents quand l'autre enfant âgé du même âge qu'elle commença une conversation à sens unique, elle apprit tout de lui, sa vie sans vraiment lui demandé, il avait fait un monologue, souvent interrompu par les bonbons qu'il ingurgitait. « tu me lâche d'accord, j'ai pas envie de te parler, ni à toi ni à personne. » grogna-t-elle en décollant son front de la fenêtre, regardant méchamment l'autre personne. Surprit, il se leva et partit du wagon, laissant la brunette seule. Elle sortit sa baguette, vingt-cinq centimètre, contenant un cheveux de la plus ancienne vélane, la première, c'est ce qui lui avait dit le marchant de baguette, elle était fascinée par sa baguette d'autant plus qu'elle avait été scultée dans du bois de rosier, son bois à elle. « enfin seule » mumura-t-elle en posant son regard admiratif sur la baguette qu'elle tenait au bout de ses doigts. C'était tout nouveau pour elle, pourtant elle avait enfin trouvé sa place.

« lâchez moi, d'accord, tous autant que vous êtes » hurla-t-elle en se levant de sa chaise, la balançant contre le fond de la salle, s'éclatant contre le mur. Elle plaqua ses mains contre son crâne et hurla « vous me soulez, je n'ai pas d'ordre à recevoir de vous ! » la jeune femme âgée de quatorze ans se dégagea de sa table « comment osez-vous me parler sur ce ton, vous méritez une bonne correction ! » la brune lui lança un regard de défi « et bien nous verrons ce que nous verrons, demain, midi tapante dans la salle des sorts, vous et moi. » elle savait que cela n'était pas possible mais la parole était sorti trop vite, elle se retourna et sortit de la salle de cours, après avoir réussi à déjoué un sort de stupéfix sur sa personne. Une main sur l'encadrement de la porte, elle s'arrêta et lança au professeur « ça va être intéressant. » elle partit laissant la salle de classe perplexe. Evidemment, le combat n'a pas eu lieu, la demoiselle s'est faite renvoyé de Durmstrang pour mauvais comportement. Pour mieux expliquer, cette fille faisait peur à tout le monde, même la brute de l'école en avait peur, elle était indomptable, rebelle et froide, elle n'acceptait personne dans son entourage, solitaire et insociable, elle restait seule et cela la convenait. Tout le monde avait son nom à la bouche mais pas le bon, Hadès. Elle était connue sous le nom d'Hadès, le même prénom inscrit en lettre de feu sur cette couverture de terre. Elle s'était fait un nom, tout le monde la craignait. La nouvelle de son renvoie fut rapidement sût, un soulagement de ne plus voir cette bombe à retardement dans les parages.

« monsieur. » dit-elle en s'asseyant dans le fauteuil que le directeur de l'école lui montrait. Elle croisa alors les jambes, complètement détendu. Elle s'enfonça un peu plus dans le fauteuil, un sourire aux lèvres. « je sais pourquoi je suis ici, pas besoin de gaspiller votre salive. » le directeur tapa sa main sur son bureau la faisait taire, pourtant elle ne bougea pas d'un pouce, un sourire en coin s'afficha. « vous êtes renvoyé willow, je ne veux plus de vous ici. » son sang ne fit qu'un tour. « ne m'appelez pas willow » explosa-t-elle, tout sur le bureau s'envola. En temps normal, les sorciers ne pratiquent la magie que par l’intermédiaire de leur baguette, mais la demoiselle pouvait faire sans, elle ne contrôlait pas ce qu'il se passait, comme si chaque élément autour d'elle répondait en même temps à son humeur. « cette fille est morte. » dit-elle en se levant du fauteuil. Elle ne laissa pas le temps au directeur de faire quoique ce soit, qu'elle claqua la porte, après tout elle était renvoyée, pas besoin de rester plus longtemps dans cet endroit.

Virée, elle avait été virée de son école. Pas une très grande perte n'est-ce pas ? En fait, elle ne ressentait rien à ce moment-là, rien quand elle dépassa tous les autres élèves, la tête haute et armée de sa démarche féline et mystérieuse, le regard vague et non calé sur un point, elle les voyaient sans les voir, elle n'y prêtait aucune attention, des âmes en peines qui soupiraient de soulagement de son départ, un sourire satisfait sur les lèvres, la jeune fille de quatorze ans et onze mois se dirigeaient vers la sortie. Cette annonce ne l'avait pas effondrée, non elle était plutôt contente de quitter ses imbéciles. Elle ne jeta pas un regard de regret, non elle était fière et elle voulait le montrer. Elle sentait les regards derrière son dos.

Sa seule valise, contenant que quelques affaires, était posée à côté d'elle, à croire qu'elle était déjà prête à repartir sans même avoir eu le temps de se poser dans sa nouvelle école. Ses bras croisées contre sa poitrine, sa longue chevelure tombait en cascade dans son dos, ondulés et sauvage, cependant, deux mèches étaient liés l'une avec l'autre par une petite pince. Elle frotta ses lèvres l'une contre l'autre, réajustant son baume à lèvre, ses yeux noisettes frôlaient l'hystérie. Elle devenait impatiente. Un mois, il ne lui a fallu qu'un mois pour que la jeune fille se retrouve dans une autre école. C'était la fin des vacances et le début des cours. C'est avec un moral de chien que la Gorgäs-Keihn monta dans le Poudlard Express à la suite des autres élèves qui semblaient tous se connaître, les rires fusaient de tous côtés, les retrouvailles lui donnaient envie de vomir. Elle n'avait pas l'habitude de tant de fusion de tendresse, à Durmstrang ce n'était absolument pas comme ça, c'était chacun pour soi, Hadès l'avait bien comprit et à vrai dire cette règle ne l'avait pas du tout dérange étant une solitaire de nature. Elle porta sa valise devant elle et marcha le long du couloir, avec un peu de mal, tous les élèves étaient posté devant les fenêtres pour dire au revoir à leur parent, c'est avec un certain regard triste qu'elle les dépassa. Elle n'avait personne à qui dire au revoir, et même si elle se disait n'avoir besoin de personne, la jeune fille se sentait complètement seule. Elle trouva un wagon complètement libre, elle ouvrit la porte sans même regarder de tout côté. Elle soupira et releva la tête et vit un porte bagage, elle y monta sa valise. « oh bordel » murmura-t-elle en soupira, tout en se laissant tomber sur la banquette. S'affalant le mieux possible, mettant ses pieds sur la banquette devant elle, elle se pencha légèrement, faisant attention à ne pas glisser et sortit sa baguette de sa botte en cuir. Elle se remit en place et regarda sa baguette avec un air complètement admiratif. Le contact de sa peau avec celui du bois la faisait frissonner, comment pouvait-elle autant être attaché à du bois ? Elle fit un sourire avant de poser sa tête contre la fenêtre, perdant son regard dans le paysage londonien.

Tout était comment dire, avec des couleurs, elle n'était pas habitué à voir autant de chose, même si elle paraissait froide, la jeune fille n'était pas insensible à la beauté qu'on lui offrait sur un plateau, c'est d'un regard contemplatif que la porte du wagon s'ouvrit. Elle avait entendu les rires peu avant, mais elle n'en avait que faire, bien trop occupée à regarder cette chose, peut-être qu'elle n'aurait pas l'occasion de revoir ce paysage avant longtemps. Elle se "réveilla" lorsqu'elle entendit des pas et un raclement de gorge, elle remonta légèrement la jambe et tourna sa tête. Elle posa son regard sur un groupe de jeune homme. Celui qui avait sans doute raclé sa gorge pour attirer son attention fit un pas en avant dans le wagon. Un sourire amusé intérieur, elle descendit ses jambes tout doucement. Jouant, elle voulait jouer. « je crois que tu t'es trompée de wagon » lui dit-il de but en blanc. Son sourire s'effaça, oh mais tu ne vas pas faire long feu toi. Elle le regarda d'un air appuyé « c'est le nôtre ici tu dois partir » La jeune fille sentait son cœur commençait à prendre de la vitesse dans ses battements. Elle plaqua ses mains sur ses cuisses et se releva, faisant alors face à jeune homme, elle posa ses deux mains sur ses hanches, ses cheveux s'étaient mis à l'avant. Elle ressemblait à une lionne prête à l'attaque. « oh tu crois ça ? » demanda-t-elle en se penchant légèrement, regardant un peu partout dans le wagon, à la recherche de quelque chose, « Ouais c'est le nôtre. » après une bonne minute de recherche, elle ne trouva rien d'autre qu'un vieux bonbons collé en dessous le siège, des papiers qui traînaient dans les mailles du porte bagage. Elle se redressa satisfaite. « mais qu'est-ce que tu cherches ? » lui demanda-t-il en la regardant d'un air exaspéré. « Huum, ton prénom. » Elle plongea son regard dans le sien, un sourire mesquin sur les lèvres « mais c'est dommage, il n'y est pas. » commença-t-elle en se portant ses deux bras contre son coeur puis les croisant contre sa poitrine « mais juste un conseil, évite de faire genre le dur devant tes potes et d'agresser une fille pour un wagon. » Elle secoua la tête. « surtout quand tu ne connais pas la fille en question et que tu ne sais pas de quoi elle est capable. » lui dit-elle sur un ton dur. Son visage n'exprimait rien, non elle perdait juste son temps. « Mais pour qui tu te prend ? » La jeune fille releva un sourcil « pour une fille qui ne vaut mieux pas chauffer, tu sauras bien assez tôt qui je suis » Elle posa sa main dans son bras, ses ongles rentraient dans sa chair, mais aucune douleur, elle ne ressentait rien. « Crois-moi, il ne vaut mieux pas me connaître, ce qui l'ont fait ne se sont jamais relevé. » dit-elle en souriant en coin. « mais je m'en fous de ta vie, tu te barre c'est tout. » La pression commençait à monter en elle, il fallait qu'elle se calme maintenant, malheureusement ça n'était pas facile, mais elle ne voulait pas faire cramer le train et tous ses élèves et elle avec. « c'est notre wagon. » dit-il en croisant les bras. Courageux ou insouciant ? Elle ne le savait pas, mais il l'intriguait c'était le seul qui lui avait tenu tête depuis. « et je dis, je reste. » elle se recula et se rassit à sa place, laissant le jeune homme en plein milieu du wagon, ses amis n'avaient pas broncher d'un pouce, elle reposa sa tête contre la vitre et ne fit plus attention à ces personnes. Têtue comme ils le sont tous les deux, aucun n'a bougé, le jeune homme suivit de sa horde s'est assis dans "leur" wagon.


Elle suivit, son pas était traînant, elle ne mettait aucune bonne volonté à être accueillit par le directeur de l'école Poudlard. Elle se sentait mal à l'aise dans la blouse qu'on lui avait fait acheté, elle n'aimait pas le tissu, mais elle devait avouer qu'elle lui tenait chaud en cette journée de vent. Ses cheveux volaient à chaque bourrasque de vent. Elle ne fit pas attention au chemin qui la menait au bureau, même si elle savait qu'elle allait épouser le sol de ses pieds assez souvent par la suite, elle prévoyait déjà dans sa tête les longues discussions avec le directeur sur sa mauvaise conduite, l'influence qu'elle peut avoir sur les élèves. Elle monta les marches machinalement, son esprit était ailleurs.

« Bienvenue jeune fille » entendit-elle derrière elle. La demoiselle se retourna et fit face au directeur de l’école, elle ne l’imaginait pas comme ça. « Bonjour » dit-elle impressionnée. « Comme ça, j'ai du mal à croire tout ce que l'on m'a raconté sur vous ma chère enfant. » Hadès ne baissa pas la regard pour autant, qu'est-ce qu'on avait dit sur elle ? Ah si, peut-être intenable ? Chiante ? Méchante ? Incontrôlable ? N’aime pas les ordres ? Insensible ? Froide même glaciale ? Venimeuse ? Ouais, probablement ça. « et puis-je savoir ce qu'on a dit sur mon compte ? » « tout ce que vous faite paraître Willow. » le sang de la demoiselle s'arrêta de couler dans ses veines, elle avait comme un coup au ventre, comme si on lui avait enfoncé des milieux de coup de couteaux sans qu'elle puisse l'empêcher, son coeur se serra si fort et si rapidement qu'elle crut qu'elle allait s'évanouir, ses mains commençaient à trembler. « oh, je suis désolé. » la demoiselle leva les yeux vers lui, un regard haineux mais une pointe de détresse se logea dans son regard « ne prononcez plus ce prénom. » « pourtant c'est bien le vôtre ? Pourquoi vouloir le reniez ? » il la contourna et s'assit sur son fauteuil, la jeune femme le regarda faire. Sa gorge était serrée. « pourquoi oublier ce qu'on est ? » « vous ne savez rien de moi, vous ne serez jamais rien de moi, ne prononcé plus ce prénom. Cette Willow n'existe plus d'accord, c'est Hadès, Ha-Dès. » articula-t-elle sans se rendre compte qu'elle avait haussé le ton et que la pièce devenait étouffante, oui c'est, bien, continue comme ça, tu fais déjà bonne impression. « calmez-vous, maintenant. » sa voix était posé, sans peur, la demoiselle sentit une sensation de calme en elle, elle le regarda interloquer. « il avait donc raison ... » il approcha sa main contre sa barbe et la caressa, pensant. « qui avait raison de quoi ? » « vous êtes une élémentariste mademoiselle, je n'avais pas cru votre ancien directeur mais après ça » dit-il en pointant du doigt un endroit, la demoiselle suivit son regard, il se posa sur la cheminée, des flammes avaient commençait un peu trop haut, brûlant le bas du tableau inhabité. « je suis quoi ? » dit-elle en tourna la tête. « élémentariste, vous avez une certain faculté, je dirais plus une connexion avec un des quatre éléments, et a en voir cela, vous êtes celle du feu. » La demoiselle recula d'un pas. « Donc je le contrôle ? » « pas tout à fait, on ne peut contrôler un des quatre élément, on tire juste sa force de celui-ci, vous avez un lien fort avec le feu, étrangement celui-ci se manifeste quand vous êtes en colère. » il posa son regard sur elle. « êtes-vous souvent en colère ? » la jeune fille de quinze ans lui ria au nez. « souvent. » dit-elle. « intéressant. » mais il coupa la conversation comme ça, tout d'un coup. Revenant au règles habituelles que la demoiselle écouta d'une oreille, trop préoccupée par ce qu'il venait de dire sur elle. Oui, elle avait toujours été attirée par le feu mais de là a avoir un lien avec celui-ci, la demoiselle ne savait plus trop quoi penser. Tout se passa alors très vite, il posa le choixpeaux sur sa tête. Il était confus, son ancienne maison était Hadès, quel hasard ? Non, pas tellement. C'est après quelque minutes qu'il annonça Serpentard. le directeur n'avait pas l'air d'avoir confiance en la décision du choixpeaux, mais on ne pouvait le contredire.

« Encore toi ? Mais ce n’est pas possible ma parole, tu me suis ou quoi ? » entendit-elle siffler dans son dos. Elle pouvait reconnaître cette voix entre milles, un sourire aux lèvres la demoiselle se retourna et fit face au mec du wagon. « Qu'est-ce que tu fous ici ? » La demoiselle arrêta de sourire, vivement son renvoi, elle ne pouvait déjà plus supporter les personnes qui s'y trouvaient. « Tu tiens à la vie ? » Le jeune homme se stoppa dans sa course « pardon ? » « je t'ai demandé si tu tenais à la vie, non parce que je voulais savoir quand est-ce que je dois commander ton cercueil ! » elle pencha légèrement la tête. « il vaudrait mieux pour toi que tu ne m'approche pas. » Malheureusement même après ce conseil, les deux jeunes gens partirent dans une embrouille, pas la première et pas la dernière non plus, et pas celle qui compliqua la vie de la demoiselle.

Cela dura quatre ans, quatre ans d'embrouilles et de bagarres sans fin, pourtant à sa grande surprise, le directeur ne voulait pas la lâcher même avec les nombreuses supplications de ses professeurs, la trouvant insupportable. Mais elle ne pouvait pas être renvoyé, Durmstrang ne voulait plus d'elle, Beauxbâtons ne la voulait pas non plus, il n'y avait que Poudlard. Même si elle ne voulait pas le dire à haute voix, elle apprécié cette école et ses coins. Il y avait tellement de choses à apprendre. Elle réussit, elle n'échoua pas comme l'avait prédit ses professeurs, il se trouvait qu'elle était largement au-dessus de la moyenne à l'examen final. Sa dernière année fut plus calme sans lui et pourtant après cet évènement la demoiselle de dix-sept ans bientôt dix-huit se posait des questions, pourquoi mais surtout comment ça avait pu arriver ? Elle ne le savait pas et elle n'en a pas la réponse encore aujourd'hui.
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i'll be drunk again to feel a little love.


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“ a childwood is a gift, take this. ”


PART THREE
Dix-huit ans, les yeux rivés sur la route, pourquoi était-elle dans une voiture ? Elle ne conduisait pas, elle ne tenait même pas le volant, elle était assise sur le siège conducteur, les jambes tendus et posées sur le siège passager, son chien allongée en boule à côté d'elle, la tête posée sur ses jambes. C'était un berger allemand, orphelin comme elle, elle avait trouvé errant dans les rues de Londres, elle n'était pourtant pas du genre à récupérer les bêtes mais le caractère du chien lui ressemblait tellement, grognant sur tout ce qui bouge. Elle sourit en l'entendant ronfler comme un nounours. La voiture s'arrêta doucement, ils étaient enfin arrivés, après une semaine de route et de vol, ils étaient enfin arrivé en Bulgarie. La terre natale de la demoiselle, elle avait besoin de réponse où plutôt elle avait besoin de confirmation sur ses origines. La recherche ne fit pas longue, la ville est petite, même si elle ne la jamais visité, elle avait l'impression de la connaître par cœur, elle trouva rapidement ce qu'elle cherchait, ses hommes tout d'abord, qu'on retrouva mort chaque matin, brûler après avoir été torturé ? Pourquoi ? Une revanche qu'elle devait prendre sur leur silence. Le pire, c'est qu'en mourant, aucun n'a demandé pardon. L'un d'eux avait même répété cette phrase, celle qui ne fallait pas dire Willow, tu es un monstre. pendant plusieurs jours, la police était sur les lieux des crimes, personne ne la soupçonné, l'affaire fut classé sans suite après que la jeune femme ait quitté la Bulgarie avec son chat et son chien dans sa voiture, un coffre remplit de tout ce qu'il fallait savoir sur elle.

Elle n'y retourna pas et n'a pas l'intention d'y retourner, la Bulgarie, c'est terminée.

Ses pas sont lents, calculés, précis, on a l'impression que ses pieds ne touchent pas le sol, non elle le frôle juste, elle vole. Elle se sent libre. Pour la première fois depuis longtemps, comme si son passé était maintenant derrière elle. Ses talons claquaient sur le sol du couloir. Dans sa robe blanche, on aurait pu facilement la confondre pour un ange, une image captivante qu'on ne voulait pas laisser passer sans avoir l'envie de la toucher du bout des doigts. On est le trente et un décembre mille neuf cent quatre-vingt-dix-neuf. Elle avait fini de travailler pour aujourd'hui, elle était sur le point de quitter Bristol lorsqu'elle entendit un fracas sourd dans son dos, un souffle et des cris, elle se retrouva alors au sol. Elle perdit tout contrôle de son corps, de ses pensées, elle ne savait pas très bien ce qui c'était passé mais quelque chose avait explosé. Pendant plusieurs minutes, la jeune femme se retrouva coincée dans le noir, paniquant. Elle ne comprenait pas ce qu'il se passait mais une panique ancienne la prit soudain, comme lorsqu'elle se retrouvait coincée dans un endroit fermé. Elle essaya de reprendre le contact avec son corps mais ses jambes étaient coincées par quelque chose. Elle se retourna légèrement et vit un morceau du plafond sur ses deux jambes. Sans plus attendre et sans réfléchir, elle commença alors à s'agiter, se libérant après plusieurs minutes d'efforts, ses jambes saignées mais elles ne semblaient pas être blessée tant que ça. Son souffle était courte, elle avait du mal à respirer, elle plaqua sa main contre sa bouche et cracha quelque chose dans la paume de sa main. Elle regarda, du sang. Elle releva alors la tête, elle semblait être dans une partie du bâtiment la moins touchés par ce qu'il venait de se passer. Beaucoup de monde essayait de se dégager, elle se releva tant bien que mal, un jeune homme s'arrêta devant elle. « il faut fuir Willow ! » Elle eut un mouvement de recul, comment il connaissait son prénom, mais aussi, comment osait-il l'appeler comme ça ? « mais qu'est-ce qu'il s'est passé ? » « il faut partir, maintenant !» « je ne peux pas les laisser comme ça ! » elle se surprit à dire ça, elle ne s'était jamais occupé de personne, comment et par quel miracle voulait-elle aidé tout ce monde ? « tu ne peux plus rien faire pour eux ! » elle fit un pas en avant mais il la bloqua en tenant fermement ses bras « mais lâchez moi, je dois y aller » « ils sont tous morts ! » « non il y a encore des vivants ! » il fit un mouvement de tête négatif « je dois y aller ! » «je suis désolé mais je ne peux pas te laisser y aller » Elle ouvrit la bouche mais aucun son n'en sortit. Il la prit alors dans ses bras et la porta vers la sortie. Certains étaient encore derrière. Mais il ne s'arrêta pas pour autant, les pompiers étaient déjà là et tenté de calmer le feu, d'après ce qu'elle entendait c'était dû à une fuite de gaz. Le jeune homme se faufila alors à travers la foule. « je ... » commença-t-elle mais elle s'évanouit.

Il se passa trois jours avant que la jeune femme reprit connaissance. Elle n'était pas chez elle mais dans un endroit qu'elle n'avait jamais vu auparavant. Se frottant le visage pour essayer de recouvrir la mémoire, elle demanda « où suis-je ? » demanda-t-elle en posant ses mains devant ses yeux, elle ne sentit pas sa peau mais un bandage « pas très loin de chez toi » « ça m'étonnerais, je n'ai pas de chez moi » dit-elle en essayant de se relever, ses côtes lui faisaient mal, surtout celle-là, qui lui rappela une ancienne douleur. « doucement. » lui dit-il en la forçant à se recoucher. « mais qui es-tu ? » demanda-t-elle en posant son regard sur son visage. « tu ne t'en souviens pas ? » « non désolée ... » la demoiselle fronça les sourcils « On était dans la même maison, mais nos chemins se sont séparés ... malheureusement » elle ne comprit pas très bien ce qu'il voulut dire.

Maintenant elle sait, la mémoire est revenue. Son monde se fissure. Elle ne sait plus comment faire face, La grand Hadès perd ses moyens en repensant à cette histoire.
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