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HUNTER † every time i close my eyes, it's like a dark paradise.
deadly disaster - this is war

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K. Hunter-Luann Black
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HUNTER ∆ lost in the dark.
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ϟ DANS LA BATAILLE DEPUIS LE : 28/02/2012
ϟ MISSIVES ENVOYÉES : 974
ϟ POINTS : 27
ϟ DC : H. Soule-Pepper Orsey.
ϟ EMPLOI : étudiant en médicomagie.
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MessageSujet: HUNTER † every time i close my eyes, it's like a dark paradise. HUNTER † every time i close my eyes, it's like a dark paradise. EmptyMer 25 Juil - 19:33


❝ kôl arasmos hunter-luann black

I just got lost, I'm just waiting till the shine wears off


BEHIND THE SCREEN

PSEUDO/PRÉNOM → donc heum, moi c'est unspokenLIFE, pis bon j'prefère qu'on m'appelle Sarah, princesse Sarah même. pervers inutile de sortir la panoplie de surnom qui vous pend à la bouche si vous voulez pas que j'vous coupe la langue aussi sec. Rolling Eyes
ÂGE → j'ai dix-sept ans dans quelques jours. HUNTER † every time i close my eyes, it's like a dark paradise. 2752390508
COMMENT T'ES ARRIVÉ(E) SUR DD ? → bah heum en fait Judas m'est apparu en rêve et m'a montré le chemin et pouf, j'ai atterri sur les fesses, c'dingue. Arrow
TON AVIS ? → DD ça rime avec édenté et on dirait un vieil oncle rabougri. Arrow
RESPECTERAS-TU LE SERMENT INVIOLABLE ? → non, pas envie. HUNTER † every time i close my eyes, it's like a dark paradise. 2752390508
AVATAR → Josh sexiest Hutcherson, l'homme de ma laïfe, mon fantasme suprême, le plus hot et seksey surtout quand il danse. Arrow
SOUHAITES-TU LE RÉSERVE ? → pas la peine, j'suis Dieu. HUNTER † every time i close my eyes, it's like a dark paradise. 2752390508
CRÉDIT DES IMAGES → gif de tumblr, avatar par occulus reparo et icônes par thilia.
i'm a hyppogriff
Mon nom, c'est Kôl Hunter-Luann Black, mais tout le monde m'appelle Hunter, simplement. Autrefois ma soeur m'appelait Kôl, mais ce surnom m'est désormais insupportable. Je suis né le quatorze août à Londres, en Angleterre, j'ai donc ving-deux ans. Je suis un sang pur et je fais donc partie du groupe black hood. Dans la vie, je suis étudiant en médicomagie, bien que le temps ne manque un peu à mes études ces temps-ci. Actuellement, je suis hétérosexuel et je suis aussi célibâtard. Dans mon entourage, on dit que je suis déterminé, indépendant, vif, intelligent et beau-parleur mais aussi cruel, sarcastique, insolent, calculateur et impulsif, et on me reconnait facilement grâce au tatouage que je porte au creux du poignet, représentant le symbole de ma soeur décédée entouré d'une nuée d'étoiles mais je le vis bien. Je suis effrayé par le corps sans vie de Persée gisant sur le pavé et baignant dans son essence vitale et mon patronus est un cobra. Mon arme, en ces temps de troubles, est ma baguette composée de bois d'if, contenant du venin de basilic et mesurant 30.2 cm ainsi qu'un poignard en argent aux armoiries des Black. Enfin, je dois ma belle gueule à mes origines britanniques et accessoirement à Josh Hutcherson.


the rised mirror
comment avez-vous réagi lorsque le gouvernement magique a révélé au monde moldu l'existence du monde magique ? ▲ je crois que je n'ai d'abord pas compris ce qu'il se passait réellement - tout a commencé par se mélanger dans mon esprit et tout ce qui en ressortait n'était que salve de pensées indistinctes. en réalité, j'ai entendu Castiel en parler - il était fou de rage et arpentait le salon du manoir de long en large et marmonnant qu'il allait tous les tuer. alors j'ai compris que ce n'était pas une blague et que nous avions un sérieux problème qui ne faisait que commencer. immédiatement, j'ai revu les images des souvenirs affluer devant mes yeux ; j'ai éclaté. l'occasion était trop belle à saisir... avez-vous participé à l'attentat de Bristol ? quelle est votre opinion sur la question ? ▲ c'est Castiel qui m'a fait entré dans l'action en réalité. il avait capté mon vif intérêt pour ses actes et n'avait pas hésité une seule seconde à m'embarquer dans ces sombres affaires - il m'avait au départ associé à Werner, cet enfoiré de vermine. apparemment c'était pour l'aider à se remettre dans le "droit chemin" tout en refoulant mon excès de rage. mais pendant que nous tuions, aucun, ni lui ni moi, n'a retenu l'autre ; nous avons fait couler le sang ensemble, avec la folie du désespoir et ce venin de vengeance qui nous brûlait les veines. Et malgré tout ça, notre vengeance était loin d'être assouvie... qu'est-ce qui vous pousse à vouloir l'extermination des moldus ? ▲ ils l'ont tuée, ils lui on fait du mal... je ne fais que leur rendre la monnaie de leur pièce. auparavant dénués d'intérêt à mes yeux, leur existence prend tout son sens aujourd'hui. ils ne méritent que la mort, la souffrance, la destruction. ils méritent de ressentir cette douleur aiguë qui me transperce la gorge à chaque pensée que je lui envois, cette piqure brûlante lorsque le dernier souffle vient, tout comme lorsqu'ils lui ont ôté le sien pour la dernière fois. avez-vous foi en votre gouvernement ? pourquoi ? ▲ bien sûr que non. comment voulez-vous que j'ai la moindre confiance en un gouvernement qui a trahi notre secret aux yeux de ces piètres moldus ? je prends cette révélation comme une provocation de guerre ; ils sont incompétents, irresponsables, aveugles. êtes-vous capable de tuer pour vous faire entendre ou préférez-vous les moyens plus subtils pour parvenir à vos fins ? ▲ oui, je tuerai s'il le faut, tout comme ils n'ont pas hésité à la tuer elle, après l'avoir maltraitée et roulée dans la boue. si l'un d'entre eux se mettait en travers de mon chemin, je n'aurais aucun remord à dégainer ma baguette.
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MessageSujet: Re: HUNTER † every time i close my eyes, it's like a dark paradise. HUNTER † every time i close my eyes, it's like a dark paradise. EmptyMer 25 Juil - 19:34


BEAUTIFUL TRAGEDY

for a beautiful looser.


un soustitre si tu veux.
La sonate s’élève, douce et caressante à tes oreilles, telle une nuée de papillons aux teints pâles qui volettent de toutes parts. Sous le silence des lieux, les notes valsent contre les murs lourdement chargés, se répondent en échos légers et frétillants, t’entourent de leur tendresse qui te fait frissonner. Tes paupières restent closes – tu en apprécies bien mieux la musicalité. Dans quelque léger froissement, tu perçois son étoffe qui glisse au moindre de son plus faible mouvement, lorsque ses doigts graciles et blancs titillent les touches nacrées de l’objet. Bien que vos opales respectives, les tiennes profondes et aussi noires que les abysses et les siennes cristallines à la brillance du diamant, jamais ne se rencontrent, tu imagines parfaitement sa moue pincée mais toutefois souriante, plaquant une mince fossette sur sa joue rosée – ses sourcils joints par la concentration passionnée et son angoisse qu’à un seul instant sa main ne se détourne de la partition. Cette constatation fait frémir ta lèvre, également. Ainsi, le morceau s’étire dans l’espace, longues secondes plaisantes et immortelles, alors que vos sourires béats de bonheur balafrent vos visages éclairés d’une excitation qui vous est inconnue. Lorsqu’enfin sa main repose, faiblarde et immobile sur les touches, et que les sons s’évanouissent lentement, tu t’autorises un regard – tes opales d’onyx s’ouvrent doucement et tu les dardes sur sa silhouette droite et frêle ; si fragile qu’on aurait pu la briser d’un geste. Cette idée te pince le cœur et tu l’écartes aussitôt – qu’il puisse lui arriver préjudice t’est intolérable et tu retiens un violent haut-le-cœur en touchant cette pensée absurde. Il ne peut rien lui arriver ; vous êtes saufs, au sein des dédales du manoir ancestral – aussi peu rassurants soient-ils, ils vous apportent la sureté et la quiétude qui est si chère à vos géniteurs, ces hauts sorciers tant soucieux de votre épanouissement et qui, toutefois, brillent par leur absence. En secouant ton visage, tu échappes à l’emprise de ta réflexion et reportes de nouveau ton regard hardant sur la jeune fille. Avec la délicatesse d’une danseuse de ballet, elle se soulève du banc qui trône devant le piano d’ébène alors que sa robe se plisse et joue de la lumière, fait volte-face dans un tournoiement gracieux pour se planter devant ton assise. Sans un bruit, elle tend sa main vers ton visage et ses doigts frais rencontrent ta joue – tu n’oses quitter son regard bleuté une seule seconde, de peur qu’elle ne s’évanouisse dans la nature ; une nouvelle fois, tu doutes de sa réalité. Une créature si faible et douce ne peut exister et n’est que le fruit de tes fantasmes rêveurs. Avec lenteur, tu fais glisser ta propre main pour attraper la sienne qui caresse avec tendresse ta peau incandescente sous le contact – un souffle frémissant s’échappe de tes lèvres entrouvertes et d’une pression, tu lui demandes muettement de s’accroupir devant toi ; elle s’exécute dans la seconde sans que tu n’aies besoin le moins du monde de la supplier du regard. Un long moment, vous vous contentez de plonger vos pupilles vitreuses les unes dans les autres, analysant chaque recoin de la rétine brillante et furieuse. Tu l’observes, timide face à toi, recroquevillée sur elle-même malgré son sourire et ses pupilles rieuses – elle tremble. Tu hausses alors un sourcil et l’inquiétude te mord l’estomac ; tu sens ton souffle se heurter contre tes poumons et tu te risques à glisser dans un murmure. « Persée ? » Elle secoue son visage, de bas vers le haut. Simplement. Aucun son ne perce ses lisses lèvres carmin ; elle est comme muette. Alors, tu te dégages de son emprise, brises sa caresse en écartant vivement son bras et la tires jusqu’à toi par les poignets – un gémissement s’élève, prenant le dessus sur ses drapés qui bruissent. Vos visages se collent, tu sens sa respiration saccadée sur ta peau moite et, à t’y méprendre, tu perçois la faible pulsation de son faiblard organe vital au creux de son cou, se mouvant avec rapidité sous l’épiderme tendue. Dans un geste d’une infinie douceur, tu dégages une boucle dorée qui se balade devant ses yeux baissés et empli d’une honte que tu ne comprends pas et tu frôles sa joue de ton pouce. Finalement, tu t’abstiens de la toucher ; ton esprit se doit d’être présent et tout contact t’offre source de distraction interdite. Tu t’écartes encore quelque peu, et la force à te regarder. « Perséphone… que diable se passe-t-il ? » Elle tente vainement de détourner son visage de l’emprise de ton regard, mais ne peut finalement que laisser un soupir s’échapper de sa bouche. Elle reste longtemps silencieuse – tu as tout ton temps. « Rien. » consent-elle finalement à répondre lâchement après plusieurs minutes de lourd silence. Ton emprise se desserre autour de ses poignets et tu l’ignores lorsqu’elle relâche son souffle. Tu sais qu’elle te ment – mais pour une raison que tu ignores, tu es incapable de la tenir si près de toi pour la forcer à t’avouer ce qui la rend si fragile. Tout cela est au dessus de tes forces – tu es conscient que cela la ferrai grandement souffrir. Ce n’est pas ce que tu veux. Tu l’aimes ; elle est à toi et tu ne veux rien de mal pour elle. Alors tu te redresses lentement alors qu’elle t’imite et de nouveau, tu réduis cette proximité respectable qu’il y avait entre vous. Tes bras forts enserres sa taille, tu l’attires contre toi – aussitôt son parfum t’enivre et tu as déjà oublié la cause de ses malheurs. Il n’y a plus que vous – elle et toi. Toi et elle. Vous, seulement vous. « Kôl… » Elle t’appelle encore par ton vieux prénom – sa voix suppliante te fait bondir le cœur. Tu ne réponds pas, mais elle sait que tu lui laisse la parole ; pas besoin de moi pour qu’elle comprenne. « Ne laisse jamais rien de mal arriver d’accord… » Sans la regarder, tu acquiesces. Cela t’apparaît comme une évidence. « Promet-le Kôl. » Tu te décolles d’elle, attrapes sa main que tu plaques contre ta bouche pour l’embrasser. Puis tu caresses sa nuque en murmurant, fiévreux. « Je te le promets trésor… » Et tu embrasses cette fois la commissure de ses lèvres.


chapter two
Tes opales d’onyx s’ouvrent sur la nuit humide et déserte. Ignorant où tu te rends, tes pas te guident inconsciemment dans les dédales de ruelles sombres et sinueuses où seul le silence te répond. Tes talons claquent sur le pavé glissant, mais le son est étrangement étouffé – jamais la solitude ne t’a parue aussi morbide et inquiétante. Tu fronces tes sourcils, continues toutefois de arpenter la ville déserte – il te semble être déjà passé plusieurs fois par la même place. Perdu. Tu t’arrêtes au milieu de la voie, tournes quelques fois sur toi-même pour observer ces détails qui t’échappent. Ta vision est obscurcie, vacillante – tu clignes tes paupières pour tenter vainement de faire passer ton mal mais il s’ancre un peu plus encore en ton sein. Tu suffoques malgré l’air froid qui transperce ta peau nue, malgré l’humidité qui s’accroche à tes minces vêtements – ton souffle émet une nuée vaporeuse qui s’échappe de ta gorge et te brûle les lèvres. Tu voudrais hurler ton désarroi – ta gorge est obstruée et tu manques de t’étouffer. Tu te laisses alors tomber contre le sol mouillé, ton genou heurte la pierre, mais tu retiens ton sanglot. Les minutes s’écoulent, lentes et taquines tandis que tu restes écroulé à terre tel un rampant. Tu voudrais rester là, tu es bien. Seul. Abandonné. Incompris. T voudrais laisser tes yeux se fermer, mais ils restent désespérément ouvert. Tu ne sais pas pourquoi tu es là, ni où tu te trouves – tu t’en moques au fond. Cela ne doit pas être si important.

Et après un temps qui t’a parut durer l'infini, le silence fini par se briser. Un râle parvient à tes oreilles et tu grognes en te redressant. Des souffles heurtés, des gémissements éclatent dans la nuit noire. Tu te redresses, endoloris de douleurs, meurtri de froid. Tes jambes sont lourdes, maladroites, mais tu marches vers les bruits. Longtemps. Trop longtemps. Tu as peur. Ton estomac est serré, et tu sens la bile monter aux lèvres, ton cœur cogner violemment contre ta côte. La tête te tourne, tu titubes mais garder tes opales figées sur la route. Enfin, les bruits te sont clairs, proches. Tu cherches la source des yeux, ne la trouve pas – alors tu brandis ta baguette, marmonnes une formule que tu bégaies mollement. Une lueur surgie de nulle part et tu éclaires la zone en la pointant au loin. Tes prunelles tombent alors sur une ombre ; tu fronces les sourcils, t’approches lentement. Et là, tout bascule… Tu ressens un choc dans la nuque et t’effondres violemment sur le sol ; un poids vient s’ajouter sur ton dos tandis qu’un liquide chaud coule sur ton épaule et sur ta joue plaquée contre la pierre. Du bout des doigts, tu rencontres l’essence écarlate et une odeur de rouille emplit tes narines. Tu te sens partir, tu hurles, on te frappe à nouveau. Un autre cri – cette fois il n’est pas sortit de ta bouche. Tu lèves tes yeux vers le bout de la ruelle et croises un regard paniqué que tu reconnais ; la rage déforme immédiatement ton visage et tu te débats sous le poids de ton agresseur tandis qu’elle hurle ton nom. « Persée ! Persée non ! » Quelqu’un plaque sa main crasseuse sur ta bouche, tu étouffes.

Un bruit d’étoffe arraché et tu cesses de te débattre. On te tient les bras, mais tu ne peux plus bouger tant tu es horrifié par la scène que tu entrevois – les hurlements de ta sœur emplissent chaque cellule de ton esprit, transpercent chaque parcelle de ta peau brûlée, calcine ton cœur que tu sens exploser. Ton souffle s’arrête et malgré cela, tu ne peux plus la quitter des yeux, elle, beauté frappante qui rugis dans le noir. Une autre déchirure, des sanglots acides qui te tailladent les veines, tu voudrais joindre ton hurlement au sien mais l’air te manque. Des rires gras, brutaux, insolent qui t’animent d’une haine incommensurable mais de moindre utilité. Tu es condamné à observer ces vulgaires moldus s’affairer autour du corps immobile de ta sœur. Des bouts de tissus volent alors que les larmes dévorent tes joues et que tu supplies le ciel de te la rendre. La tienne… Puis le silence. Tu n’entends plus que les souffles rauques mêlés et les gémissements terrifiés de Perséphone. Tu voudrais plaquer tes mains contre tes oreilles, ne pas avoir à entendre leur plaisir à violer l’intimité de Persée, ses cris de douleurs, son impuissance, mais elles sont bloquées sous ton buste. Tu sens tes tripes se nouer, tu vas dégobiller tu le sens… Tes prières ne servent à rien Kôl, elle est à leur merci... Tu tentes un dernier mouvement, mais c’est trop tard ; les limbes t’emportent.

Lorsque tes paupières se rouvrent, la rue est déserte et le silence a reprit ses droits. Ton dos est désencombré de tout poids, mais tu peines à te relever. Tu pivotes maintes fois, parcours les lieux de tes opales embuées. « Persée ? Où es-tu, Persée… » Ta voix perd de sa force et fini par s’éteindre lorsque tu aperçois une ombre au sol. Tu sens que tout se brise autour de toi lorsque tu te précipites sur son corps inanimé. Tu attrapes sa main froide entre tes doigts, caresses son visage tandis que des perles salées strient ton visage. Tu n’as pas besoin de tâter son cou pour savoir que le cœur n’y bat plus. Avec ta mince cape, tu couvres son corps ensanglanté et dénudé et embrasses son front une dernière fois. « Je suis si désolé… Pardonnes-moi Persée, je t’en pris pardonnes-moi. »

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MessageSujet: Re: HUNTER † every time i close my eyes, it's like a dark paradise. HUNTER † every time i close my eyes, it's like a dark paradise. EmptyMer 25 Juil - 19:35

pluf un parfe que fe fuis le plus beau. geu
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L. Astéria-Ambre Meadows
L. Astéria-Ambre Meadows
♕ one pill makes you larger

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MessageSujet: Re: HUNTER † every time i close my eyes, it's like a dark paradise. HUNTER † every time i close my eyes, it's like a dark paradise. EmptyJeu 26 Juil - 1:16

Bienvenue sur Dédey, si tu as la moindre question le staff est là pour toi geu

(et très bon début de fichette, bonne chance pour la continuation ! hihi )
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Adam P. Burns-Ruskin
Adam P. Burns-Ruskin
APBR ☀ BABY SATISFY ME

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MessageSujet: Re: HUNTER † every time i close my eyes, it's like a dark paradise. HUNTER † every time i close my eyes, it's like a dark paradise. EmptyJeu 26 Juil - 2:10

Arf, Céline tu m'as tuée HUNTER † every time i close my eyes, it's like a dark paradise. 4208657073 Ouais si t'as des questions surtout surtout n'hésites pas hein, on est tous là pour t'aider à t'intégrer sur le forum HUNTER † every time i close my eyes, it's like a dark paradise. 337664734
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